• Le Saint-Nectaire un fromage d'excellence !

    Le fromage Saint-Nectaire est garanti par une appellation A.O.P. (Appellation d'Origine Protégée) qui a remplacé l' A.O.C. (Appellation d' Origine Contrôlée), cette nouvelle appellation certifie toujours que le produit est contrôlé et que son origine est conforme mais assure, de plus, une protection commerciale.

     En effet, le véritable Saint-Nectaire n'est produit que dans une zone bien délimitée des pâturages d'altitude comprenant une partie du Puy de Dôme et une partie du Cantal dont le centre est, approximativement, le bourg de Saint-Nectaire (63) qui lui a donné son nom.

    Il existe, comme pour beaucoup de fromages en France, deux catégories de fabrication :

      - le Saint-Nectaire laitier issu de laiteries industrielles de  grande ou de moyenne taille.

    Dans ces laiteries, le lait mis en oeuvre provient de la collecte d'une multitude de fermes qui ne produisent du lait que pour  la vente.

    Cette collecte rassemble le lait de fermes diverses et donc de troupeaux divers de races différentes.

    Les laiteries destinent ce lait soit à la fabrication de produits laitiers (lait liquide différemment traité, lait en poudre, yaourts et produits similaires) soit à la fabrication de fromages locaux ou non, en A.O.P. ou non.

    Le résultat est de qualité variable selon les procédés employés et selon les stratégies des sociétés.

    Dans ce type de production les fromages sont de qualité acceptables surtout pour les A.O.P., mais les connaisseurs n'y retrouvent pas la texture ni surtout le goût qu'ils recherchent.

      - le Saint-Nectaire fermier est fabriqué avec le lait produit par une seule ferme, donc d'un même troupeau d'une seule race.

    Cliquez sur la photo pour l'agrandir

    2011-05-22-Montbéliardes-La Bastide-08

    La Montbéliarde est originaire du Jura donc montagnarde.

    C'est une race laitière également appréciée en boucherie.

    Ce troupeau-ci est uniquement destiné à la fabrication du saint nectaire fermier.

    Le Saint-Nectaire fermier est élaboré dans la ferme même deux fois par jour : le matin très tôt et le soir.

    Le lait est acheminé directement de la salle de traite au laboratoire de fabrication pour être mis en oeuvre aussitôt.

    Là commence le processus traditionnel de transformation du lait en ébauche de fromage ( la "tome" à ne pas confondre avec "l'atome" ! ) grâce à la main de l' Homme et, souvent, à celle de la Femme !

    Ensuite vient le mûrissement (affinage) en cave fraîche à température constante pendant plusieurs semaines, au minimum un mois.

    Ainsi naît le meilleur des Saint-Nectaire !!!

    Environ un quart des fromages fermiers est affiné à la ferme pour être vendu sur les marchés ou dans les restaurants, le reste est pris par un affineur professionnel qui le mettra, ensuite, dans le circuit de distribution. C'est par ce moyen que vous trouverez le Saint-Nectaire fermier dans votre magasin.

    André CHABAUD

    Cliquez sur les photos pour les agrandir

    LE SUPER SAINT-NECTAIRE DE LA FERME DE LA BASTIDE 1

    Saint-Nectaire fermier dans son emballage spécial

      

    LE SUPER SAINT-NECTAIRE DE LA FERME DE LA BASTIDE 2

     Le Saint Nectaire fermier juste mûr

     

    LE SUPER SAINT-NECTAIRE DE LA FERME DE LA BASTIDE 3

    Le Saint-Nectaire fermier un des vrais plaisirs de la table !

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  • Un séisme près de Saint-Flour

     Ecrit par 15Info.fr le 22 fév 2011 dans Evènements, Infos, Secteur de Saint-Flour | 3 avis

    Pendant plus de 30 secondes, un séisme de magnitude locale 3,4 s’est produit hier soir à 19 h 15 à Madrières, sur la commune de Chaliers près de Ruynes-en-Margeride (Cantal). Le Réseau national de surveillance sismique est formel : hier soir à 18 h 15 GMT, les sismographes du capteur de Brioude (Haute-Loire) ont tremblé.

    L’épicentre, à 5 km de profondeur dans la croûte terrestre, se situe au-dessous d’une exploitation agricole. La magnitude localement enregistrée a été de 3,4.

    Près de 49.000 séismes ayant une magnitude entre 3 et 3,9 sont enregistrés dans le monde chaque année.

    Qualifiés de "mineurs", ils sont souvent ressentis mais causant rarement des dommages.

    De Etienne Vuillaume.

     

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  • Illustration dramatique d'une possible catastrophe nucléaire !

    Article en rapport avec l'article : L'Auvergne productrice d'électricité 

    Le 11 mars 2011, un séisme très important suivi d'un tsunami non moins important ont frappé le Japon mettant à mal (entre autres) les centrales nucléaires de ce pays.

    Le 12 mars une explosion s'est produite, à proximité immédiate d'un réacteur, faisant des dégâts considérables et provoquant l'effondrement d'une partie de la structure renfermant le réacteur.

    Le système de refroidissement ne fonctionnant plus, la fusion du réacteur était à craindre et la population a été évacuée dans un rayon de plusieurs dizaines de km.

    D'après une dépêche de l'AFP – 12/03/2011 à 18:05 :

     La peur d'un accident nucléaire majeur

     Les réactions anti-nucléaires pointant les risques inconsidérés et l'utopie de vouloir maîtriser l'énergie nucléaire vont certainement émouvoir et sensibiliser l'opinion publique qui va, peut-être, maintenant prendre réellement conscience que l'énergie nucléaire n'est pas un jouet et que les éléments radioactifs font le tour de la Terre, se déposent partout et ont une durée de vie (et donc de forte dangerosité) pendant des milliers d'années (au bas mot).

    D'après une dépêche de l'AFP – 12/03/2011 à 14:06

     

    Le-nucleaire-tue-l-avenir--Paris-13-03-2011.jpg

     photo : Miguel Medina, AFP

     http://www.sortirdunucleaire.org/

     

    Le panache radioactif pourrait atteindre la France mercredi ou jeudi

    selon une dépêche de l'AFP - 19/03/2011 à 21:06

    Et que dire des tonnes de déchets radioactifs dont on ne sait que faire et qui sont, eux aussi, un danger réel menaçant les populations pendant des dizaines de milliers d'années et compromettant l'avenir de l'Humanité ?

    André CHABAUD

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  • L'abondance d'eau dûe à la pluie et surtout à la neige avait conduit à donner au Massif Central, dont l'Auvergne est le coeur, le surnom de "château d'eau de la France" (souvenirs de l'école !).

    Pour utiliser ce château d'eau, de nombreux barrages hydroélectriques ont été édifiés et ils ont produit la majorité de l'électricité que nous avons utilisée jusqu'à l'avènement de l'énergie "nucléaire" soit-disant propre (sans aucun rejet de CO2 et surtout sans aucun danger [sic] de pollution ou de radiations --Tchernobyl n'est pas en France et les contrôles douaniers ont étés plus qu' efficaces--donc d'après tous nos spécialistes "professionnels" du secteur PRIVE et du secteur PUBLIC, tout est sous contrôle). A l'heure actuelle, vu le "parc" nucléaire français, les barrages hydroélectriques comptent pour peccadilles (voir les factures EDF) à cela près que EDF ne mentionne pas si ses % de production des barrages hydroélectriques ne concernent que la production d'électricité produite par (ou pour) elle-même ou englobe la production totale d'électricité de tous les barrages hydroélectriques français, car, comme on est pas forcément au "courant" (surtout avec les nouvelles soit-disant "concurrences"), de nombreux barrages hydroélectriques sont privatisés, voire peut-être tous. Peut-être pas encore à des sociétés entièrement privées mais à des sociétés (groupes) comme la SNCF, la RATP, ce qui doit entrer dans le % de la production totale d'électricité hydraulique, je ne suis pas sûr que ce soit le cas. Si ça n'est pas le cas pourquoi dissimuler cette production non négligeable sinon pour minimiser la production hydraulique et porter aux nues la production nucléaire ?

    A suivre de près !

     

    Retenue et barrage EDF de Bort-les-Orgues (19 et 15)

     Barrage de Bort-les-Orgues (19 et 15) sur Google Maps

    En attendant, pour ce qui est du château d'eau de la France, l'eau coule toujours, elle est toujours retenue pour le fonctionnement de nombreux barrages hydroélectriques, on peut cependant noter que, depuis plusieurs décennies, les hivers ont été moins rudes et moins longs d'où un manque de neige et donc moins de réserve en sous-sol ce qui entraîne un manque d'eau en été et en automne et par conséquent un manque d'eau pour les retenues hydrauliques. A cela s'ajoutent les pollutions et dégradations des captations d'eau pour alimenter les retenues hydrauliques notamment quand ces captations traversent des lacs naturels fragiles et rares.

    Des solutions existent pour remédier à ces problèmes. Les retenues destinées à alimenter en eau les barrages hydroélectriques posent de nombreux problèmes (dégradation des milieux naturels, perturbations de la flore et de la faune aquatiques : fin de la remontées des truites et saumons ..., envasement, transport et accumulations d'alluvions et de matières organiques, etc.....). Je le répète, des solutions (ou améliorations importantes) peuvent être mises en place : question de volonté et de préservation de notre environnement !

    Ces problèmes sont évidemment très importants mais par rapport au tout nucléaire, mon choix est vite fait : tant qu'il n'y a pas de catastrophe, tout va bien, mais sommes nous bien sûrs qu'il n'y en aura pas, jamais ?

    Car, si cela se produit (et il faudrait bien une quantité phénoménale de "miracles" pour qu'il en soit autrement), les conséquences seront d'une bien autre dimension que de manquer d'eau pour alimenter les barrages hydroélectriques, que de manquer d'eau pour la culture de nos fruits et légumes (qui, bien que rares, seraient quand même mangeables sans nous irradier) ou que d'avoir,au contraire, des inondations dignes du déluge, car, dans ces circonstances dramatiques, l'humanité dans sa globalité ne serait pas en voie de disparition totale alors qu'avec le nucléaire, même avec parcimonie et ce n'est pas du tout ce qui nous attend, rien ni personne ne sera préservé, ce qui nous attend avec le nucléaire ce n'est pas un risque de catastrophe par-ci par-là mais bien un risque de catastrophe majeure pour tous et partout sans aucune restriction !!!!!!!

    A méditer !

    André CHABAUD

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  • Lac naturel de La Crégut (Cantal) 06

    Lac naturel de La Crégut (Cantal)
    par Auvergne-la-belle-province

     Ecologie :

    Ce lac naturel est le seul d'origine glaciaire du Massif Central

    à ne pas être envahi par une tourbière.

     

    Pour en savoir plus, cliquez sur ce lien :  Lac en danger

     

    Les retenues des barrages accumulent d'énormes quantités de vase qui dégradent les milieux aquatiques situés en aval.

    Pour avoir une idée plus "claire" de ce problème, regardez cette vidéo édifiante :

    Mise en ligne le 8 janv. 2012

    Staudammbecken läuft leer

    http://www.ecy.wa.gov/programs/wr/cwp..

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