• Usine hydroélectrique de Coindre (Cantal)

    Un ouvrage historique : Mise en service en 1927 par la Compagnie des Chemins de Fer Paris-Orléans.

    COMMUNIQUE DE PRESSE Le 27 août 2010

    Journées du Patrimoine dimanche 19 septembre 2010

    La SHEM, Groupe GDF-SUEZ, fait visiter son site hydroélectrique de Coindre dans le Cantal

    À l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine, la SHEM, Groupe GDF SUEZ, ouvre les portes de la plus ancienne des usines hydroélectriques de la Haute-Dordogne.

    Cette manifestation sera une belle occasion pour le grand public de découvrir ce site d’ordinaire fermé à la visite.

    Du 13 au 17 septembre, tous les élèves des classes de CM des Communautés de Communes du Pays de Gentiane et du Cézallier seront accueillis à l’usine hydroélectrique de Coindre pour une découverte de l’histoire et du fonctionnement du site, et une sensibilisation aux énergies renouvelables. Le grand public pourra quant à lui entrer dans les coulisses de l’usine le dimanche 19 septembre 2010.

    Un ouvrage historique

    L’usine de Coindre est située sur la commune de Saint-Amandin (15) et appartient au patrimoine historique de la région. Mise en service en 1927 par la Compagnie des Chemins de Fer Paris-Orléans, cette installation fait partie du Groupement hydroélectrique de Marèges qui a permis d’alimenter les lignes de chemin de fer de la région et de contribuer au désenclavement du Massif volcanique du Cantal.

    Une énergie d’avenir pour la région

    Avec une production annuelle de 114,7 GWh, l’usine de Coindre fournit l’équivalent des besoins en électricité de 60 000 habitants, soit près du tiers de la population du département.

    Symbole de modernité et de dynamisme au début du siècle dernier, l’usine est aujourd’hui encore porteuse d’avenir.

    Utilisant les eaux de la Petite-Rhue et de la Grande-Rhue, elle produit une énergie propre et certifiée 100% renouvelable, sans émission de CO2.

    Elle permet également d’économiser chaque année l’équivalent de 10 000 tonnes de pétrole par rapport à une centrale thermique au fioul.

    Pour plus d’informations : www.shem.fr

    La SHEM, Groupe GDF-SUEZ, producteur d’énergies renouvelables :

    La Société Hydro Electrique du Midi (SHEM) est un producteur d’électricité à l’expérience centenaire en matière d’hydro-électricité, et un acteur de premier plan du grand Sud-Ouest employant 260 collaborateurs. Ses 51 usines et 12 barrages, répartis sur la chaîne des Pyrénées et les vallées du Lot et de la Dordogne, produisent une énergie propre et sans rejet de CO2, certifiée 100% renouvelable par l’organisme de certification indépendant TÜV-SÜD.

    Son parc de production, d’une puissance totale de 778 MW, génère une production annuelle moyenne de 1 828 GWh. La SHEM est une filiale de GDF SUEZ, un leader mondial de l’énergie et le 2e producteur hydraulique en France.

    Contacts presse :

    SHEM

    Monica Maheut

    05 61 17 15 72 – 06 08 81 93 53

    monica.maheut@shem.fr

    Anouk Déqué Communication

    Dominique Arnaud

    05 61 55 55 65 - 06 15 37 34 92

    d.arnaud@adeque.com

    Texte édité par la Shem : centrale hydroélectrique de Coindre (15)

     

    Lors des Journées du Patrimoine, la SHEM, Groupe GDF-SUEZ, a ouvert les portes de la plus ancienne des usines hydroélectriques de la Haute-Dordogne.

    Cliquez sur les photos pour les agrandir.

    2010-07-18-CENTRALE HYDROELECTRIQUE DE COINDRE (15)-02Centrale hydroélectrique de Coindre sur la commune de Saint-Amandin (Cantal)

    Nous avons pu visiter de fond en combles, ou presque, l'ensemble de cette centrale générant de l'électricité depuis 85 ans !

    2010-07-18-CONDUITES FORCEES DE LA CENTRALE DE COINDRE (15)Conduites forcées de la Centrale hydroélectrique de Coindre, commune de Saint-Amandin (Cantal)

    2010-09-19-N°04-CENTRALE HYDROELECTRIQUE de COINDRE (15)

     Les 3 alternateurs d'origine (1927) de la centrale hydroélectrique de Coindre, commune de Saint-Amandin (Cantal)

    2010-09-19-N°41-CENTRALE HYDROELECTRIQUE de COINDRE (15)

    Le dernier groupe turbine-alternateur de la centrale hydroélectrique de Coindre, commune de Saint-Amandin (Cantal)

    Nous adressons un grand merci à la SHEM pour avoir organisé cette journée "portes ouvertes" si instructive et si conviviale (accueil avec café, jus de fruits, petits gâteaux, expositions de photos et vidéos sur la construction des barrages, des conduites souterraines à travers les montagnes, des conduites forcées, le tout permettant le fonctionnement des turbines engendrant la production d'électricité au moyen de générateurs ...) et à toute l'équipe qui nous a accueilli si sympathiquement et chaleureusement, étant attentive à chacun, donnant agréablement les explications nécessaires et répondant avec enthousiasme aux diverses questions qui lui étaient soumises.

    Vraiment une journée bien remplie, très instructive et très conviviale !

    A tous un très grand MERCI et à une prochaine visite !

    2010-09-19-N°45-CENTRALE HYDROELECTRIQUE de COINDRE (15)Conduites forcées de la Centrale hydroélectrique de Coindre, commune de Saint-Amandin (Cantal)

    RESEAU DE TRANSPORT D'ÉLECTRICITÉ (R.T.E.)

    Une fois l'électricité produite dans les centrales hydroélectriques, elle est transportée par des câbles jusqu'aux lieux de consommation, dans votre foyer par exemple. Son transport est organisé par R.T.E. (Réseau de Transport d'Electricité).

    DEPART DU RESEAU DE TRANSPORT D'ELECTRICITE - RTERéseau de transport d'électricité de la centrale hydroélectrique de Coindre, commune de Saint-Amandin (Cantal)

    DEPART DU RESEAU DE TRANSPORT D'ELECTRICITE-RTE

    Réseau de transport d'électricité de la centrale hydroélectrique de Coindre, commune de Saint-Amandin (Cantal)

    LES PYLONES SONT SOUVENT PERCHES SUR LES HAUTEURS

    Réseau de transport d'électricité de la centrale hydroélectrique de Coindre, commune de Saint-Amandin (Cantal)

    Les pylônes sont souvent perchés sur hauteurs

    Énergie et Écologie

    L'énergie renouvelable n'est pas une utopie ! Elle date de la nuit des temps !

    L'énergie hydraulique est renouvelable tant qu'il y aura de l'eau en quantité suffisante pour faire fonctionner les turbines.

    Elle engendre certaines nuisances sur les milieux aquatiques qui peuvent être atténuées par des dispositions adéquates à des coûts modérés. Ces dispositions, de bon sens, seront une avancée du développement durable !

    En tout état de cause, ces nuisances actuelles qui peuvent être éliminées ou grandement réduites, ne sont rien au regard de celles engendrées par l'énergie nucléaire militaire, par définition destructrice, et par l'énergie nucléaire civile, présentée officiellement comme la panacée et sans risque aucun malgré les catastrophes majeures survenues à Tchernobyl et au Japon.

    André CHABAUD

     haut de page

    Yahoo! Blogmarks

    votre commentaire
  • La route des fromages d'Auvergne est un excellent itinéraire pour visiter les hautes terres auvergnates !

     

     

    N'est-ce pas merveilleux, ces paysages et ces produits du terroir ?

    Yahoo! Blogmarks

    votre commentaire
  • Le Bleu d'Auvergne

    Il est élaboré en "laiterie-fromagerie", le bleu fermier (fabriqué à la ferme) est assez rare.

     

    ANTOINE ROUSSEL-INVENTEUR DU FROMAGE BLEU D'AUVERGNE

     

     ANTOINE ROUSSEL-INVENTEUR DU FROMAGE BLEU D'AUVERGNE

        ANTOINE ROUSSEL

    Inventeur du fromage Bleu d'Auvergne

    Le Bleu d'Auvergne est l'un des meilleurs fromages bleus.

    Il est sous appellation A.O.P. (Appellation d'Origine Protégée). 

    La région de Laqueuille (63) produit sa spécialité sous le nom de "Bleu de Laqueuille".

    Yahoo! Blogmarks

    votre commentaire
  • En France, quand on parle de montagnes, en général on se limite aux Pyrénées et aux Alpes. Effectivement, ce sont de grandes, belles et hautes montagnes, majestueuses et attirantes mais également dangereuses.

    Cependant, il existe aussi plusieurs massifs dits de moyenne montagne mais qui présentent des sommets élevés et accidentés, parfois très difficile d'accès et qui peuvent être dangereux à gravir et à parcourir :

    • les Vosges et le Grand Ballon qui s'élève à 1 424 mètres (anciennement Ballon de Guebwiller du nom de la ville proche) en Région Lorraine et en Région Alsace à l'est.

    • le Jura et le Crêt de la Neige, à 1 720 m d'altitude en Région Franche-Comté, au sud en Région Rhône-Alpes et au nord en Région Alsace.

    • la Chaîne des Puys ou Monts Dôme dont le plus grand, le Puy de Dôme, surplombe Clermont-Ferrand de ses 1465 mètres. Il s'agit d'un alignement nord/sud de plusieurs dizaines de volcans en Région Auvergne.

    • le Massif du Sancy ou Monts Dore culminant à 1886 mètres au Puy de Sancy, ancien massif montagneux d'origine volcanique, en région Auvergne.

    • Les Monts du Cantal, ruines d'un très grand et très ancien volcan (le plus grand d'Europe) dont le plus haut sommet, le Plomb du Cantal, s'élève à 1855 mètres. Une trentaine de puys ont plus de 1500 mètres d'altitude et surplombent de profondes vallées aux versants abruptes. Ils sont également situés en Région Auvergne.

    André CHABAUD

    Cliquez sur la photo pour l'agrandir

    Le Puy Mary (à l'arrière plan) au soleil couchant (15)

    Le Puy Mary (à l'arrière plan), au soleil couchant dans les monts du Cantal (15), culmine à 1787 mètres.

    C'est un vestige d'un très ancien volcan, le plus grand strato-volcan d'Europe qui a formé les monts du Cantal.

     

     

    Publiée le 20 mars 2012

    Retrouvez toutes les infos neige en Auvergne surhttp://www.auvergne-neige.info
    Descentes vertigineuses, panoramas à couper le souffle...les montagnes d'Auvergne offrent de multiples possibilités pour s'élancer en snowscoot ou à skis, et même pour pratiquer le hors-piste.

    Allez-vous oser dévaler les pentes d'un volcan ?

    La prudence doit être la ligne de conduite à respecter dans tous ces lieux.

    En témoigne cet article du journal leparisien.fr :

    Le corps d'un randonneur retrouvé dans le Cantal

    28.06.2011

    Parti pour une randonnée à la journée dans les monts du Cantal, dimanche, un homme de 49 ans a trouvé la mort, probablement suite à une chute de plusieurs centaines de mètres. Une vingtaine de militaires du groupement montagne de la gendarmerie et du PGM (peloton de gendarmerie de montagne) de Murat, selon le quotidien La Montagne, avaient été déployés dès dimanche 18h30 dans le secteur de Saint-Bonnet de Salers. Les hélicoptères de la gendarmerie et de la Sécurité civile se sont également relayés sur cette intervention, interrompue par la nuit, entre le puy Violent et le puy Mary où le marcheur pouvait avoir disparu. C'est finalement dans une zone escarpée que son corps a été retrouvé, lundi vers 7h30, bien en dessous du GR 400, en bordure du parc régional des volcans d'Auvergne. Parti en randonnée pour la journée avec sa famille, ce sportif aguerri, dirigeant une petite société à Aurillac, avait décidé de suivre seul un itinéraire particulier et de retrouver ses proches plus tard. Ne le voyant pas revenir, sa femme et son fils avaient donné l'alerte. Une enquête judiciaire est en cours pour déterminer les causes du décès, bien que la thèse de la chute semble actuellement la plus probable.

    Cet article a été publié dans la rubrique Faits divers du journal sur Internet "leparisien.fr"

     haut de page

    Yahoo! Blogmarks

    votre commentaire
  • Un convoi de déchets nucléaires hautement radioactifs sillonnera la France et la Belgique entre le 11 et le 13 octobre 2011 prochain, et ce dans le plus grand secret.

    Entre le mardi 11 et le jeudi 13 octobre 2011, un train transportant du combustible usé néerlandais hautement radioactif devrait quitter Borssele, aux Pays-Bas. Il rejoindra le terminal ferroviaire de Valognes, dans la Manche. Il traversera une partie des Pays-Bas et de la Belgique pour passer ensuite la frontière franco-belge à Mouscron le 11 au soir, aux alentours de 23h. En France, entre le 12 et le 13 octobre, il traversera 11 départements (1) et empruntera les voies du RER grande couronne en région parisienne. Une fois arrivés au terminal de Valognes, ces déchets seront acheminés par la route à l'usine AREVA de La Hague pour y être - selon le terme employé par l'industrie - "retraités".

    Un transport à hauts risques

    Hautement radioactif, le combustible usé, composé d’uranium, de plutonium et de produits de fission dégage énormément de radioactivité et de chaleur. Comme tout transport de matières radioactives, ce convoi comporte des risques en termes de sûreté et de sécurité, risques accrus par la forte radioactivité émise par le combustible usé. Que se passerait-il en cas d'accident ou de détournement ? Surtout que le trajet emprunté ne permet pas d'éviter les zones fortement urbanisées.

    Le réseau belge "Nucléaire, STOP !", le Réseau "Sortir du nucléaire" et le syndicat SUD-Rail tiennent à rappeler qu'il est vivement conseillé aux agents SNCF et au public de se tenir éloignés d'un convoi hautement radioactif stoppé en gare. Le Réseau "Sortir du nucléaire" et SUD-Rail incitent les cheminots français à exercer leur droit de retrait s'ils devaient intervenir sur ces convois. En effet, outre le risque d'accident, il existe un risque d'irradiation : les conteneurs "CASTOR" émettent des rayonnements radioactifs "Gamma" qui se propagent à plusieurs dizaines de mètres du wagon, mettant ainsi en danger les riverains, les cheminots et les forces de l'ordre qui encadrent le convoi (2).

    Un transport tenu secret

    Malgré ces risques, les autorités françaises ne fournissent aucune information sur ce type de transports, et taisent leur dangerosité. Il est inadmissible que certains services de l'État et les collectivités et élus locaux, qui devraient être formés et avertis de ces convois pour pouvoir réagir et mettre en œuvre un plan d'urgence en cas de problème, soient maintenus dans l'ignorance la plus totale.

    En Belgique, les autorités communales sont averties qu'un transport de déchets radioactifs passera ou stationnera en gare dans leur commune ; les riverains, eux, n'ont aucune information. Ils ne sont ni au courant du passage de ces déchets, ni de l'attitude à adopter en cas d'accident.

    Un transport inutile

    L'industrie nucléaire produit chaque année des tonnes de déchets dont on ne sait que faire (3). Certains pays étrangers, dont les Pays-Bas, envoient le combustible usé issu de leurs centrales à l'usine AREVA de La Hague pour qu'il y soit "retraité" : l'Hexagone est ainsi régulièrement traversé par ces convois de déchets. Pourtant, loin d'être une solution, le "retraitement" des déchets engendre des risques et des transports supplémentaires. Il contamine de manière irréversible l'environnement en rejetant des effluents chimiques et radioactifs dans l'eau et l'atmosphère. Il est de surcroît inutile : le traitement à l'usine de La Hague ne diminue pas la radioactivité des déchets, mais il augmente au contraire leur volume. Ainsi, pour une tonne de matière retraitée, environ 65 m3 de déchets sont produits.

    L'industrie nucléaire prévoit ensuite d'enterrer ces déchets dans des centres d'enfouissement à 500 mètres de profondeur, comme celui que l'ANDRA (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs) prévoit d'implanter dans la Meuse, ou comme celui pressenti par l'ONDRAF (Organisme national des déchets radioactifs et des matières fissiles enrichies) dans la région de Mol en Belgique.

    Pourtant, ni le retraitement ni l'enfouissement ne sont des solutions ; la France et la Belgique ne peuvent plus continuer à s’enferrer dans cette impasse et à soumettre leur population à des risques insensés. Une seule solution, arrêter de produire des déchets et sortir au plus vite du nucléaire.

    Le réseau belge "Nucléaire, STOP !", le Réseau "Sortir du nucléaire" et le syndicat SUD-Rail se mobilisent pour obtenir l'arrêt de ces transports et appellent à des rassemblements tout au long du trajet.

     Notes :

    (1) Le Nord, l'Aisne, l'Oise, la Seine-et-Marne, la Seine St Denis, le Val d'Oise, les Yvelines, l'Eure, la Seine Maritime, le Calvados et la Manche

    (2) En 1998, le laboratoire de la CRIIRAD a mesuré, à 50 mètres d’un wagon transportant du combustible irradié, un flux de radiation gamma nettement supérieur à la normale. Le débit de dose gamma neutrons était plus de 500 fois supérieur au niveau naturel, à 1 mètre du wagon. Comme l'a régulièrement rappelé la Criirad, la réglementation autorise ainsi la circulation, en des lieux accessibles au public, de wagons dont le niveau de radiation au contact peut être si importante, qu’en seulement 30 minutes de présence, un individu peut recevoir la dose maximale annuelle admissible pour le public. Voir la note CRIIRAD N°11-20 Risques liés au transport des combustibles irradiés, Valence, 8 février 2011 : http://www.criirad.org/actualites/dossier2011/trains_italiens/risques_transport.html

    (3) 1 200 tonnes par an, uniquement pour la France.

    Pour connaître les horaires de ce transport : http://groupes.sortirdunucleaire.org/Transport-de-matieres-nucleaires  

    Réseau "Sortir du nucléaire"

    haut de page

    Yahoo! Blogmarks

    votre commentaire